Ultra-violence à Mayotte : le gouvernement ne peut plus fermer les yeux !

Front National

Communiqué

04 mars 2018

Communiqué de presse du Front National

Lundi 5 mars les mairies de Mayotte fermeront leurs portes pour protester contre le fléau de l’insécurité qui ravage ce département français et pour dénoncer l’impuissance du gouvernement à y mettre fin.

Caillassages des bus scolaires, attaques en bandes des lycées, agression à la machette dans les rues…. Mayotte subit là l’incapacité des gouvernements de gauche et de droite qui se sont succédé, à garantir la sécurité aux habitants d’une île frappée par une submersion migratoire clandestine sans précédent.

Une immigration non maîtrisée qui met en péril les équilibres démographiques, économiques et sociaux sur une île, où 41% des adultes en 2015 étaient de nationalité étrangère selon une étude de l’INSSE.

Ce que vivent aujourd’hui les Mahorais est la conséquence de ce que Marine Le Pen dénonçait déjà en 2011, le refus de prendre en compte la problématique migratoire pourtant soulignée à l’époque, par une mission d’information parlementaire, qui s’alarmait des « proportions inquiétantes prises par l’immigration clandestine à Mayotte et de son impact : maternités débordées, écoles surchargées, travail clandestin banalisé, délinquance accrue ».

Les mesures cosmétiques annoncées dans la précipitation par Annick Girardin, ministre des outre-mer ne règlent en rien le problème tant elles ne sont pas à la hauteur des défis posés.

Les Mahorais ne retrouveront la sécurité et la tranquillité publique auxquelles ils ont le droit comme l’ensemble de nos compatriotes, que dans le cadre d’une politique ferme et dissuasive en matière de sécurité et de lutte contre l’immigration clandestine.

Le Front National demande que soit immédiatement mis en place :

La maîtrise absolue des frontières et l’augmentation des moyens aériens et maritimes de surveillance

Un doublement des effectifs de la Police aux Frontières

La reconduction automatique des clandestins aux frontières

Un moratoire sur la délivrance des visas accordés aux ressortissants des Comores le temps de stabiliser la situation démographique.

L’augmentation des places de prison et la fin du droit du sol

Front National

Communiqué

04 mars 2018

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